Un extrait du journal "20 Minutes" d’aujourd’hui :
THONEX – Les radicaux et le PDC sont pris en flagrant délit d’affichage sauvage. Pourtant, ils luttent âprement contre ce procédé.
«Les deux partis sont les premiers à s’être déjà largement affichés partout dans la commune, affirme Philippe Guex, secrétaire général de la mairie de Thônex. Mais en période électorale, on est plus souple avec les interdictions concernant l’affichage.» Pour Anne-Marie von Arx-Vernon, candidate PDC à l’exécutif de la Ville, il ne s’agit cependant pas d’affichage libre. «Il est question d’informations politiques», souligne la partisane qui, pour les votations du 11 mars, se bat pour une réglementation stricte sur les procédés de réclames. Alexandre Friedrich, fondateur de la société «Affichage vert» et opposé à la loi, conteste: «Il s’agit bien de publicité sauvage. Selon la loi actuelle, si les adhérents colleurs d’affiches venaient à se faire épingler sur le fait par la police, ils pourraient être amendés.» Les agents municipaux de la commune de Thônex ont reçu pour consigne d’être moins regardants durant les élections, mais de répertorier les lieux où les tracts ont été apposés. Dès la fin des votations , ils demanderont aux partis de les faire enlever. Car les affiches sont fixées avec du ruban adhésif: «règle d’or de l’affichage sauvage», souligne un professionnel de la publicité, qui préfère garder l’anonymat. «Les partis de droite se marchent sur les pieds, reprend Alexandre Friedrich. Leur procédé prouve bien que l’on a toujours besoin de se faire entendre.»
Shahïn Ammane
Un article de la Julie en parle également.
La justification des partis de droite est encore plus insupportable : "Nous, on a le droit de mettre des affiches partout, mais pas les artistes ou les associations".
La cohérence et l’exemple fondent l’autorité et la confiance des citoyennes et des citoyens dans leurs Autorités. ABE !
Affichage libre : faites ce que je dis, pas ce que je fais
THONEX – Les radicaux et le PDC sont pris en flagrant délit d’affichage sauvage. Pourtant, ils luttent âprement contre ce procédé.
«Les deux partis sont les premiers à s’être déjà largement affichés partout dans la commune, affirme Philippe Guex, secrétaire général de la mairie de Thônex. Mais en période électorale, on est plus souple avec les interdictions concernant l’affichage.» Pour Anne-Marie von Arx-Vernon, candidate PDC à l’exécutif de la Ville, il ne s’agit cependant pas d’affichage libre. «Il est question d’informations politiques», souligne la partisane qui, pour les votations du 11 mars, se bat pour une réglementation stricte sur les procédés de réclames. Alexandre Friedrich, fondateur de la société «Affichage vert» et opposé à la loi, conteste: «Il s’agit bien de publicité sauvage. Selon la loi actuelle, si les adhérents colleurs d’affiches venaient à se faire épingler sur le fait par la police, ils pourraient être amendés.»
Les agents municipaux de la commune de Thônex ont reçu pour consigne d’être moins regardants durant les élections, mais de répertorier les lieux où les tracts ont été apposés. Dès la fin des votations , ils demanderont aux partis de les faire enlever. Car les affiches sont fixées avec du ruban adhésif: «règle d’or de l’affichage sauvage», souligne un professionnel de la publicité, qui préfère garder l’anonymat. «Les partis de droite se marchent sur les pieds, reprend Alexandre Friedrich. Leur procédé prouve bien que l’on a toujours besoin de se faire entendre.»
Shahïn Ammane
Un article de la Julie en parle également.
La justification des partis de droite est encore plus insupportable : "Nous, on a le droit de mettre des affiches partout, mais pas les artistes ou les associations".
La cohérence et l’exemple fondent l’autorité et la confiance des citoyennes et des citoyens dans leurs Autorités. ABE !
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