Servette dépose son bilan. Le titre est presque trop familier mais surtout pénible pour les Genevois-e-s. Certes, le football a des dérives commerciales, économiques et financières. Servette en a connu son lot dernièrement. Mais, le football est aussi un formidable véhicule d’émotions, et de partage : et Servette a été, est, et sera, je suis sûr, le véhicule de tant d’émotions pour les Genevois-e-s.
Servette, c’est 17 championnats de Suisse, et 7 coupes de Suisse. Pour les anciens, c’est Jacky Fatton, pour les autres, c’est José Sinval ou Eric Pedat, pour les plus jeunes, Ruefli ou Kouassi, mais pour toutes et tous ce sont des souvenirs : les dimanches en famille au stade des Charmilles, les premières sorties entre ami-e-s désormais à la Praille. Le football est populaire, dans son sens le plus noble du terme. En cela, Servette fait pleinement partie de la culture populaire genevoise. Je me refuse à voir mourir ce symbole où toutes et tous nous nous sommes retrouvés pour râler, hurler, mais surtout pour partager des moments d’émotions et de joies.
Alors, j’ose croire que Servette trouvera un repreneur, avec l’appui des autorités. Mais, même si, encore une fois, on devrait reconstruire, je suis sûr que les Genevois-e-s n’abandonneront pas leur club.
Les genevois-e-s n’abandonneront pas leur Servette
Servette dépose son bilan. Le titre est presque trop familier mais surtout pénible pour les Genevois-e-s. Certes, le football a des dérives commerciales, économiques et financières. Servette en a connu son lot dernièrement. Mais, le football est aussi un formidable véhicule d’émotions, et de partage : et Servette a été, est, et sera, je suis sûr, le véhicule de tant d’émotions pour les Genevois-e-s.
Servette, c’est 17 championnats de Suisse, et 7 coupes de Suisse. Pour les anciens, c’est Jacky Fatton, pour les autres, c’est José Sinval ou Eric Pedat, pour les plus jeunes, Ruefli ou Kouassi, mais pour toutes et tous ce sont des souvenirs : les dimanches en famille au stade des Charmilles, les premières sorties entre ami-e-s désormais à la Praille. Le football est populaire, dans son sens le plus noble du terme. En cela, Servette fait pleinement partie de la culture populaire genevoise. Je me refuse à voir mourir ce symbole où toutes et tous nous nous sommes retrouvés pour râler, hurler, mais surtout pour partager des moments d’émotions et de joies.
Alors, j’ose croire que Servette trouvera un repreneur, avec l’appui des autorités. Mais, même si, encore une fois, on devrait reconstruire, je suis sûr que les Genevois-e-s n’abandonneront pas leur club.
Articles récents